la marguerite des lunes
donne à manger aux vers de plat
de poussière de bois de la route des vols
des sièges en hauteur au sommet des camions
des périls du dos sur le ventre des mois
je voyage sans voir
je frappe sans entendre
je mords sans y croire
je prends sans trouver
oublitude d’écritade
je ne sais plus comment je faisais
pour placer les mots, l’un après l’autre
comme on marche
à la recherche
de la marguerite
des
lunes de bois, de poussière, de cris, de cuisson
::: ::: :::
[Image : La plume de dos par reading_is_dangerous]
donne à manger aux vers de plat
de poussière de bois de la route des vols
des sièges en hauteur au sommet des camions
des périls du dos sur le ventre des mois
je voyage sans voir
je frappe sans entendre
je mords sans y croire
je prends sans trouver
oublitude d’écritade
je ne sais plus comment je faisais
pour placer les mots, l’un après l’autre
comme on marche
à la recherche
de la marguerite
des
lunes de bois, de poussière, de cris, de cuisson
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[Image : La plume de dos par reading_is_dangerous]
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RépondreSupprimer"la souffrance de l’homme seul face à l’adversité."
RépondreSupprimerLe maître et Marguerite.
::::
Hallucination du grotesque,
Totaliser les rayons,
Pratique de l'interprétation,
L'essence de l'origine
::::
Ouf! contente d'avoir des nouvelles. Il arrive que quand on quitte le monde de l'imaginaire, face au réel, les mots deviennent impuissants. Fortes pensées.
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