Dessous le feu, dans les doigts
La lingerie ultime du soleil
Des tourbillons érotiques dans l’éther
La trace des arabesques
Le dessin du visage, une goutte de fer
Le portrait du dieu évadé
La prison du corps, la chair, une planète
Sa peau brisée par une caresse
Je suis issu de moi, Vivant
Je me suis quitté, un souffle
Pour mordre à ton âme, la flamme
Du dessus.
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[Image : La Lune, détail d'une icône] r_i_d, à Moscou, Jan. 2009
c'est embêtant un tit brin de devoir m'asseoir devant un plat écran
RépondreSupprimerpour lire tes poésies
dis...tu voudrais pas les mettre sur du papier
et me les envoyer
au bout du monde ?
Du papier voyageur?
RépondreSupprimerKHANAT DA BRIGHT
RépondreSupprimerLe papier voyageur
C'est un passeport anglais
Pour les steppes mongoles
Où des chevaux ailés
Retapissent le mur du son
De parfums carnassiers
A la saveur torride
De poudre d'escampette
Aux arômes flamboyants
De caresse monstrueuse
En te quittant..toi.. l'issu de toi.. vivant.. le souffle.. troublé.. troublant.. les ondines.. givrées.. aux reflets.. moirés.. donnant corps à cette âme.. mordue.. fugueuse.. du toi.. vivant.. le souffle.. coupé.. sur fond d'ondines.. houleuses.. & de mousse d'écume en dentelle.. lue & humée dans les marcs des cafés.. près de ces tours.. perdues.. aux alentours..gelés.. tours aux noms oubliés.. qui sonnent le glas.. à la tête bouclée.. briseuse du ciel.. en mille éclat.. certains rit.. puis chuchotés.. sous la lune.. presque pleine.. puis pas tout à fait.. saine.. sa mine boudeuse.. la tristesse.. garde toujours..ce petit gout d'inachevé.. ce soir là.. le souffle.. coupé.. caresse.. la chair.. brisée.. fuite.. par souffle interposé.. issues du toi-vivant-fugué.. dessus.. dessous.. & tout autour.. de toi.. ces amours soudaines.. reviennent.. Paris à pieds.. paris tenu..? Paris pris.. mais en partie.. puis pas tout à fait.. chose.. "promise".. 'nous restent les quais.. quand vous revenez..
RépondreSupprimer& puis au fait..
vous recommencez.. ^^