J’ai rarement écrit pour être entendu—
La raison de mon insouciance m’échappe,
Mais aujourd’hui… bah! je pense…
Qu’il faudrait bien… enfin… dire… expliquer…
Mais…
Un train, un cargo de « mais »
Un tapis nuageux de « mais »
Des tas de « mais » me retiennent… et je n’ai…
Que ma pauvreté fidèle à t’offrir
Au creux des cailloux de mes bras pour t’emporter
Dans mes rêves où je te plie à ma guise
Et te peins en vert comme la macération de l’absinthe
À Paris, où je n’étais qu’une force
Où je croyais pourtant être l’objet ou la chose (le sujet)
Poussé par l’amour, ta richesse, laquelle pouvait bien
Prendre un train de tapis d’explications qui retiennent…
Mes bras verts au creux de la lune de tes reins sous la
Bouche des fourmis d’idées qui me refilaient des tickets
Du métro qui traversait des musées de passions
Et j’ai enfin vu : Une partie de Picasso
L’océan cuit aboutissait chaque soir dans mon assiette
Comme dans mes songes des grains de riz de toi
De Paris que je découpais en morceaux au moyen de
Ma fureur qui prenait le chemin des bois, de toi
Tu m’as donné la voie rapide des mots
Tes chaussettes vertes à rayures poussées par la chose
Et l’amour du marécage, d’un tapis de creux de cuites
La force de ton dos : Portant nos mots.
Rarement ai-je écrit pour être entendu
Je n’ai que ma pauvreté fidèle à t’offrir
T’emporterai-je donc dans mes rêves
De Congo, de Russie, à dos de serpent ?
::: ::: :::
[Image : La verdure rose par reading_is_dangerous]
La raison de mon insouciance m’échappe,
Mais aujourd’hui… bah! je pense…
Qu’il faudrait bien… enfin… dire… expliquer…
Mais…
Un train, un cargo de « mais »
Un tapis nuageux de « mais »
Des tas de « mais » me retiennent… et je n’ai…
Que ma pauvreté fidèle à t’offrir
Au creux des cailloux de mes bras pour t’emporter
Dans mes rêves où je te plie à ma guise
Et te peins en vert comme la macération de l’absinthe
À Paris, où je n’étais qu’une force
Où je croyais pourtant être l’objet ou la chose (le sujet)
Poussé par l’amour, ta richesse, laquelle pouvait bien
Prendre un train de tapis d’explications qui retiennent…
Mes bras verts au creux de la lune de tes reins sous la
Bouche des fourmis d’idées qui me refilaient des tickets
Du métro qui traversait des musées de passions
Et j’ai enfin vu : Une partie de Picasso
L’océan cuit aboutissait chaque soir dans mon assiette
Comme dans mes songes des grains de riz de toi
De Paris que je découpais en morceaux au moyen de
Ma fureur qui prenait le chemin des bois, de toi
Tu m’as donné la voie rapide des mots
Tes chaussettes vertes à rayures poussées par la chose
Et l’amour du marécage, d’un tapis de creux de cuites
La force de ton dos : Portant nos mots.
Rarement ai-je écrit pour être entendu
Je n’ai que ma pauvreté fidèle à t’offrir
T’emporterai-je donc dans mes rêves
De Congo, de Russie, à dos de serpent ?
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[Image : La verdure rose par reading_is_dangerous]
Je l'aime, stp laisse la ici. Elle revenu retrouver ce qu'elle avait laissé en arrière lorsque l'avion est partie. Moi, qui l'avait presque abandonné, oublier sans effort de la regarder de nouveau, belle et splendide de vie. La douleur de la partager est présente en moi, de savoir que son serpent ne s'est pas révélé qu'à moi.
RépondreSupprimerSi tu veux sauver des vie ailleurs. Je te demande stp, de ne pas en détruire d'avantage. Si tu peux effacer ce blog, je te serai grandement reconnaissant mais je n'ai aucun controlle sur aucune autre personne que le mienne.
Juste un bonjour à mon retour de désintoxication des blogs. Je vais mijoter tranquillement sur mon athanor ce que j'ai lu...Amitiés sincères.
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