des poils de terre
feignent délicieusement la luxure
des jungles depuis le pays de tes orteils
jusque sur ton estomac,
mon ventre
plus tard, ta robe s’agite
comme l’écran froissé d’une tempête ;
froufroutement ou froufroutance voulue,
préparée, invoquée par des sorciers merles
et pinsons magiciens aux becs affamés,
mes doigts
et puis, c’est un crabe en fesse…
il boit du vin à même le rubis de mon cœur échangé
volontiers contre le minois joli de ta fleur de verre
pour le faire, pour la faire sécher entre les pages
de mes allusions filantes,
mes lèvres
les chairs invisibles du passé n’ont pas d’importance,
car la terre a repris leur remarquable beauté –
avalée ! respirée ! brûlée ! – le présent aime la
beauté tangible des moustiques de soie
aux ailes de sucre,
nos peaux
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[Image : L’écran froissé d’une tempête par reading_is_dangerous]
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RépondreSupprimerDélicieusement érotique...
RépondreSupprimerRelever le rythme
RépondreSupprimerChanson de feu
Maelström vapeur
A 100°C
Danse de l'eau
Feu pour Vie
Dans un club
Apparition
Cachée
L'eau lit
Pop d'une bulle
Champagne.
Vous êtes beau comme votre poème, Maître Reading.
RépondreSupprimerTactilement touché.
RépondreSupprimer"Maître Reading" et en plus il est beau...c'est tout un programme.
RépondreSupprimerC'est ton poème qui reflète ta beauté...
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