L’œil gris de tes cuisses
Et la promesse de ton ventre d’encre
Et le silence blanc de tes mains
Et ta poitrine aux bras légers
Et ton cœur sans visage
Ont donné jour au papillon de nos nuits –
Une chauve-souris l’a happé en rêve.
J’étais un chemin de rues, une invitation
Et toi la beauté d’une vitrine, et figée
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[Image : Chez Miu-Miu, rue d’Alger par reading_is_dangerous] (le 11 mai 2008)
Et la promesse de ton ventre d’encre
Et le silence blanc de tes mains
Et ta poitrine aux bras légers
Et ton cœur sans visage
Ont donné jour au papillon de nos nuits –
Une chauve-souris l’a happé en rêve.
J’étais un chemin de rues, une invitation
Et toi la beauté d’une vitrine, et figée
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[Image : Chez Miu-Miu, rue d’Alger par reading_is_dangerous] (le 11 mai 2008)
Il y a un temps, j'avais un pseudo inspiré par la marque Miu-Miu: c'était Miu-Hny.
RépondreSupprimerNormalement les hommes ne connaissent pas cette marque.
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Ce poème me plait beaucoup, j'y entends une musique inspirante.
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La photo aussi (la tenue aussi), j'aime les effets sur les vitrines et leur reflet.
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimer"j’étais un chemin de rues, une invitation
RépondreSupprimerEt toi la beauté d’une vitrine, et figée"
question de perspective ?
j’étais une voix de silences, la contemplation
Et toi l'attrait d’une destination, et passé
Elle est vraiment,,,, su...perbe !
RépondreSupprimer(merrrrde... ma femme m'appelle...)
...
R_I_D : tu me fais croire des choses ?
Et tout est beau et délicat par ici...
RépondreSupprimerAu plaisir.
La poésie est belle.
RépondreSupprimerLa crainte d'une illusion pourrait m'en détourner.
Qui est-elle celle qui m'a attiré