brise fraîche d’automne
caressant mon visage
à l’horizon descend un soleil,
une olive
le souvenir d’une journée déjà lointaine
frappe à ma porte
je revois un nuage,
c’est lui, c’est toi, bonjour !
il n’y avait pas d’olive, non,
mais les joues rougissantes des érables
et je tombais du ciel
sans parachute, mais la foi me…
je…
battant des bras, je…
à l’horizon une prune,
ma pauvre tête (mais la foi me gardait)
« Claude Bien et Raymond Paul, » pensai-je
l’un un tyran, l’autre un illuminé
nés tous deux le même jour, de mères voisines
Qui aperçurent le même nuage,
en forme d’olive,
un jour d’automne, avant
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[Image : Dessein par reading_is_dangerous]
Moi l'olive je l'utilise surtout pour faire ... "un petit Gregory"
RépondreSupprimerC'est une boisson-jeu composée d'une larme de gin, d'une rivière de tonic, d'une olive, d'un petit morceau de sucre et d'un petit bout de ficelle, appelée le Petit Gregory, le premier chez qui Gregory (l'olive) remonte doit payer l'addition et boire son coktail cul sec.
Merci qui ?
Merci Benoît Poelvoorde.
you kept the faith
RépondreSupprimerand you did not do it in vain
happy poem, happy for you!
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
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